Allen Strauss, le clebs pas net

On dit de lui que c'est un fou. Certains disent que cela est dû à une déficience mentale de naissance, d'autre que c'est la cause des expériences que l'on fait sur lui régulièrement. Ou encore qu'il est simplement l'enfant d'un démon. Mais il arrive que certains ne voit en lui qu'un simple chien dresser à tuer. Et si c'était tout à la fois ? En effet, Allen n'est pas totalement sain d'esprit étant toujours resté au stade de l'enfance, s'amusant d'un rien et toujours en train de faire des découvertes, même s'il se révèle être un monstre sanguinaire dont la vue du sang qu'il répand et la seule chose pouvant attiser son excitation. Le sexe ? C'est quoi ? L'amour ? Ça se mange ? La tristesse ? A quoi ça sert ? L'amusement ? C'est quand il peut enfin mettre en pièces les souris qui passent entre ses griffes bien sur. Il n'a aucune notion du bien et du mal et serait près à trucider n'importe qui il croiserait dans la rue, si sont dressage n'avait pas été suffisamment réussit. C'est déjà à peine s'il connaît et respecte les scientos' fou qui l'ont éduqués tellement il est limité mentalement, mais il peut se révéler être un très bon chien de garde. Il obéit aux ordres qu'on lui demande, même s'il le fait en rechignant. En faite, cela dépendra surtout de s'il vous apprécie ou pas. Demandez lui de vous donner la patte et il le fera par contre. Ce n'est pas qu'il déteste les habitants des quartiers nord et ouest, c'est juste qu'il adore les découper en morceaux, ce qu'il ferait d'ailleurs avec n'importe qui, mais depuis son enfance ont lui a toujours répété de ne tuer que les déchets de la société. Alors il ne tue que les déchets de la société. Mais si vous lui dites de tuer un habitant de la haute, il ne sera pas contre pour autant. Tous ce qui peut posséder des organes, du sang, pouvant courir, hurler et s'enfuir est bon à prendre pour lui, la chasse étant sa seule raison de vivre. Drogué ? Il l'est. Mais pas de manière à en être dépendant pour qu'il soit plus obéissant. Non, ça les scientifiques l'ont suffisamment bien dressé pour pas qu'il se rebelle. En faite, le terme dopé conviendrait mieux d'ailleurs. Oui, puisque les drogues utilisées étant simplement pour en faire une machine à tuer plus performante.

Mesurant dans les environs du mètre quatre-vingt quinze, ce clebs ce trouve être relativement grand. Sans parler du fait qu'il possède une musculature tout à fait respectable sans pour autant être littéralement surdeveloppée, de manière à posséder suffisamment de force tout en étant d'une agilité et d'une rapidité incroyable. De manière naturelle ? Vous êtes très loin du compte. Il a été modelé ainsi, à force de produits illégaux pour en faire un animal aux capacités incroyables pour la chasse à l'homme. Tout dans son corps est dopé de manière à être plus efficace lors de la traque. Mais naturellement ce n'est pas lui qui décide de ce qu'on lui injecte, il n'est juste l'objet que de multiples expériences afin de rendre les assassins bien plus compétents. Il a de nombreux percings aux oreilles et possède une chevelure blonde négligée et constamment en bataille, lui arrivant à peu près aux épaules et avec une frange abandonnée depuis des lustres, venant cacher son regard de fou à lier dont la couleur reste indéfinie pour de nombreuses personnes. Certains ont crus entrapercevoir une lueur jaune, d'autre un regard bleu derrière ce rideau de mèches blondes. Mais aucun n'a pu sortir vivant des griffes de ce monstre pour en témoigner. Généralement habillé que d'un simple jean avec de paraboots aux pieds, il lui arrive parfois de porter un sweat à capuche rouge qu'il laissera toujours ouvert laissant l'occasion à toutes les personnes qui le croisent d'observer les étranges tatouages composant son torse disposés de manière à ce qu'on est l'impression qu'il porte une espèce de collier remontant jusque sous le menton et s'étalant sur ses épaule et son dos, ainsi que des tatouages à l'allure de flammes entourant ses avant bras pourvu aux niveaux des mains de griffes métalliques d'une vingtaine de centimètres qui se révèlent être ses armes de prédilection lors des battus. Tout en Allen incite à la fuite, à ne pas croiser son chemin, de peur de s'attirer sa folie, clairement inscrite sur son sourire de dément ne rêvant que d'une chose : voir la couleur des entrailles de sa prochaine victime.